L'autre nuit, comme ils taient onzeQui soupaientla Maison-d'Or,Sous...
Comment vous portez-vous, adorable Éliante?Sur la pointe du pied j...
Et voyant ainsi le ciel me sourire,Pour que votre esprit ne ft pas jaloux,A m...
Ce matin, pench, seulma fentre,L'ombre autour de moi pleine de rumeursTr...
Vivre, eh Dieu! la pauvre merveille!Morne chanson, morne refrain!Ce que nous ...
O contrastes impitoyables!Jamais on ne vit ciel plus bleu,Air plus doux, nuit...
Si quelque ambition grotesqueAllait cependant me venir!Eligible, je le suis p...
Au gai roman de ma jeunesseJ'ai fait une corne ce soir.Je te ferme, le t...
Puisque, avant le dessert, la fatigue t'a prise,Belle et chtive enfant, ...
Elle est morte bien jeune, elle est morte bien belle,Par un matin d'avri...
Quand c'est tout de bon que j'aime,Adieu chanson et pome!Dans mon e...
Sa fille est tout le portrait de sa mre,Sauf qu'en naissant la grle la m...
Dans une rue extrmement tranquille,Au bord de l'eau, prs de Saint-Louis-...
La semaine dernire,travers mon binocle,Étantl'Opra,Mignonne statu...
Voici le temps des bals; Estelle, qu'en dis-tu?Mettons-nous vitenos toil...
Nous tions cinq ou six potesDans le divan Le Peletier,Lorsquetrop rares sont ...
Je sais une maison, du ct de Lesparre,Qu'un foss seulement de la route s...
Dans tous les environs la vendange tait faite.Du bourg de Valeyrac, ce soir, ...
Un petit cabinetnu,blanc;une croiseOuverte,un lourd rideau tout tremp de rose...
Sous les sombres tilleuls j'ai vu passer Nicette.Elle marchait sans brui...